A t'on vu un match plus médiatique que le Clasico de ce lundi soir ? Non. Jamais auparavant un match a su déferler autant les passions, diviser les hommes ou les réunir. Alors on peut se dire que ce n'est qu'un match de football, pourtant tout porte à croire que ce match rentrera dans la légende, entre 2 équipes qui paraissaient d'égal niveau avec deux grandes stars, 2 grands entraineurs, 13 champions du Monde, et autant de joueur aussi fort les uns que les autres. Ce match a depassé le stade du simple match de football, il est devenue culturelle, un peu comme un jour saint pour les religieux, ou un comice agricole dans un petit village, on ne peut pas le contourner, on ne peut pas savoir quand et ou il se passe à part bien sur d'être un hermite. Tout ça pour dire que l'on comprend pourquoi le football est sociale, rassemble et démontre qu'il n'est pas un sport onéreux, outrepassons les millions, regardons LE match.
Et ce match, à tourner court pour la bande à Mourinho, (5-0), c'est dur pour les Merengues, aucun de nous n'aurait pu prédire victoire aussi large et flagrante. Le Barça était un ton au dessus, et Messi aussi. Bien sur, le Barça évoluait à domicile, bien sur Higuain était remplaçant est revenait de blessure, mais aucune excuse ne peut être trouvée, une seule peut être, que les Blaugranas étaient trop forts. Pendant presque 90 minutes, la domination catalane fut forte et continue, tant et si bien qu'on oublia l'espace d'un match que Madrid était la capitale de l'Espagne, et que Barcelone ridiculisait cette capitale. On a pas vu Cristiano Ronaldo, à part quelque frappe de loin désespéré, on a vu plus fort que ça, un collectif adverse tellement bien huilé qu'il en devient imbattable. Le Barça ne réussi pas au Real, 5 défaites de suite, pour être champion, il faudra battre la bête chez eux, ce qu'il leur fait défaut depuis des années et qui les empêche d'empocher la Liga. Mais ne perdons pas espoir, disons que tout va se jouer au stade Santiago de Bernabeu, pour une rencontre je l'espère, encore plus légendaire.
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